Der Freischütz - Staatsoper Hamburg

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http://www.classique-c-cool.com/critiques/2022/2/1/grande-comptition-paris-pour-lire-de-nouvelles-voix-internationales

Résumé : 

Comme elle, William Desbiens convainc d’emblée dans le duo d’Hamlet d’Ambroise Thomas. Le baryton canadien de 24 ans a lui aussi bien des atouts à commencer par une diction exemplaire, une longueur de souffle et une belle étendue vocale qui lui permettent d’aborder en deuxième partie le célèbre air de Figaro du Barbiere di Siviglia de Rossini. Malgré son abattage et une bonne technique, l’artiste ne se retrouvera pas au palmarès contrairement à la concurrente suivante. Article de Hugues Rameau-Crays

https://www.forumopera.com/paris-opera-competition-2022-paris-garnier-onirisme-et-florilege-vocal

Résumé : 

Dans "Doute de la lumière" de l'Hamlet d'Ambroise Thomas, le baryton William Desbiens, apparaît être un Hamlet vitaminé, au timbre chaud, à la diction fluide et intelligible, mais bien trop vaillant, héroïque, pour caractériser les oscillations d'un personnage fragile notamment dans ses relations avec son Ophélie d'un soir qui a bien du mal à exister devant un partenaire aussi imposant. Compte tenu de son charisme vocal et physique, William Desbiens se révèle à son meilleurs dans l'air du Factotum de Figaro du Barbier de Séville dont il incarne à merveille l'humour bravache. Article de Brigitte Maroillat

https://www.olyrix.com/articles/production/5423/paris-opera-competition-finale-concours-chant-lyrique-musique-culture-paris-palais-garnier-article-compte-rendu-22-janvier-2022-brea-desbiens-harvey-virban-cury-molinero-scott-shikhalizada-uzun

Résumé : 

William Desbiens (baryton du Canada) déploie en duo l'intensité d'Hamlet par une splendide articulation et une grande noblesse, y compris dans les sommets lyriques. Les récompenses lui échappent sûrement de peu : en raison de la fatigue manifestée à la fin de son grand air soliste "Largo al factotum" du Barbier de Séville. Le rythme est toutefois soutenu et la ligne vocale reste intéressante pour ce Figaro devant le Panthéon, que la mise en scène transforme en Don Giovanni dansant le flamenco. Article de Charles Arden