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French-Canadian baritone, William Desbiens from Québec City, Canada, is a current member of the Hamburg State Opera’s International Opera Studio 2024-2026. He graduated with a BM at the Mannes School of Music in New York under his teacher Arthur Levy. A former emerging artist at the Masquerade Emerging Artist program in Florence, Italy, (2021-2024) Mr. Desbiens has performed the role of Figaro from “Il barbiere di Siviglia” in Germany and Austria. In the 2024-2025 season at the Hamburg State Opera, the young baritone performed in 9 different productions, including Killian in a new production of ”Der Freischütz”, Saretzky in “Eugene Onegin” and the role of Dr. Pulski in a new work by Unsuk Chin “Die dunkle Seite des Mondes” among others. In the 2025-2026 season at the Hamburg State Opera, he will be part of 8 different productions, including Fiorello in the new production of Il Barbiere di Siviglia, Il Sagrestano in Tosca and Yamadori in Madama Butterfly among others. Mr. Desbiens obtained second place in the male category at the 22nd Canari International Opera Singing Competition last September and also participated in October in the Solti Gala with Rising Star, co-produced with the Georg Solti Academia. In 2020 he was awarded an encouragement award at the Metropolitan Opera National Council Auditions and was a finalist at Ciopera - Paris Opera Competition edition 2021. He also participated, from a very young age, in singing and dramatic opera programs under the direction of the famous baritone Sherrill Milnes.

Comme elle, William Desbiens convainc d’emblée dans le duo d’Hamlet d’Ambroise Thomas. Le baryton canadien de 24 ans a lui aussi bien des atouts à commencer par une diction exemplaire, une longueur de souffle et une belle étendue vocale qui lui permettent d’aborder en deuxième partie le célèbre air de Figaro du Barbiere di Siviglia de Ros
Comme elle, William Desbiens convainc d’emblée dans le duo d’Hamlet d’Ambroise Thomas. Le baryton canadien de 24 ans a lui aussi bien des atouts à commencer par une diction exemplaire, une longueur de souffle et une belle étendue vocale qui lui permettent d’aborder en deuxième partie le célèbre air de Figaro du Barbiere di Siviglia de Rossini. Malgré son abattage et une bonne technique, l’artiste ne se retrouvera pas au palmarès. Photo: Marina Bourdais

Dans "Doute de la lumière" de l'Hamlet d'Ambroise Thomas, le baryton William Desbiens, apparaît être un Hamlet vitaminé, au timbre chaud, à la diction fluide et intelligible, mais bien trop vaillant, héroïque, pour caractériser les oscillations d'un personnage fragile notamment dans ses relations avec son Ophélie d'un soir qui a bien du
Dans "Doute de la lumière" de l'Hamlet d'Ambroise Thomas, le baryton William Desbiens, apparaît être un Hamlet vitaminé, au timbre chaud, à la diction fluide et intelligible, mais bien trop vaillant, héroïque, pour caractériser les oscillations d'un personnage fragile notamment dans ses relations avec son Ophélie d'un soir qui a bien du mal à exister devant un partenaire aussi imposant. Compte tenu de son charisme vocal et physique, William Desbiens se révèle à son meilleurs dans l'air du Factotum de Figaro du Barbier de Séville dont il incarne à merveille l'humour bravache. Photo: Marina Bourdais

William Desbiens (baryton du Canada) déploie en duo l'intensité d'Hamlet par une splendide articulation et une grande noblesse, y compris dans les sommets lyriques. Les récompenses lui échappent sûrement de peu : en raison de la fatigue manifestée à la fin de son grand air soliste "Largo al factotum" du Barbier de Séville. Le rythme est t
William Desbiens (baryton du Canada) déploie en duo l'intensité d'Hamlet par une splendide articulation et une grande noblesse, y compris dans les sommets lyriques. Les récompenses lui échappent sûrement de peu : en raison de la fatigue manifestée à la fin de son grand air soliste "Largo al factotum" du Barbier de Séville. Le rythme est toutefois soutenu et la ligne vocale reste intéressante pour ce Figaro devant le Panthéon, que la mise en scène transforme en Don Giovanni dansant le flamenco. Photo: Marina Bourdais


















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